Plus technique, plus exigeant et surtout moins attendu par les consommateurs dans un premier temps, le green make-up a longtemps fait figure de parent pauvre de la clean beauty. Il s’impose pourtant aujourd’hui, boosté par la période Covid. «Depuis quatre ans, c’est un segment qui a énormément bougé et qui commence à se massifier. On retrouve une marque green en maquillage chez pratiquement tous
les distributeurs, certains ont même leur propre marque comme Monoprix. Cela représente une part importante des rayons aujourd’hui », note Pascale Brousse, fondatrice de Trendsourcing et auteure d’une étude sur cette tendance. Sur toutes les catégories, des rouges à lèvres aux mascaras en passant par le teint, les marques naissent ou se diversifient, labélisées ou pas, sur des revendications de formulations naturelles, bios, vegan ou tout simplement clean. Mais qu’en est-il de ce nouveau marché et de la
performance de ses produits ?